Le 3 juin 2015, donc, dans les arènes de Garons, il nous avait donné la démonstration de son inépuisable répertoire de passes à la cape et à la muleta.
Sur un ton monocorde il parlait doucement et lentement de sa voix rocailleuse de fumeur de cigare. Il expliquait, tandis que son corps dansait pour faire vivre cette cape. Par moment, il nous semblait même entendre le souffle du taureau qui passait lentement sous cette muleta. Magie…
Ce jour-là, nous avions bien conscience de voir un torero de légende, de la légende mexicaine, d’un autre pays, d’une autre époque. Sa figure m’évoquait un autre torero mexicain de légende Juan Silveti Mañón (1891-1956) surnommé « Le Ressuscité » car il avait survécu à 32 coups de corne, 4 blessures par balles et 2 coups de poignards ….
Pour lui rendre hommage, voici quelques photos prises ce jour-là en attendant de revoir la vidéo réalisée par Alain Ponce de Léon.
J.Y. Bauchu.
Sur un ton monocorde il parlait doucement et lentement de sa voix rocailleuse de fumeur de cigare. Il expliquait, tandis que son corps dansait pour faire vivre cette cape. Par moment, il nous semblait même entendre le souffle du taureau qui passait lentement sous cette muleta. Magie…
Ce jour-là, nous avions bien conscience de voir un torero de légende, de la légende mexicaine, d’un autre pays, d’une autre époque. Sa figure m’évoquait un autre torero mexicain de légende Juan Silveti Mañón (1891-1956) surnommé « Le Ressuscité » car il avait survécu à 32 coups de corne, 4 blessures par balles et 2 coups de poignards ….
Pour lui rendre hommage, voici quelques photos prises ce jour-là en attendant de revoir la vidéo réalisée par Alain Ponce de Léon.
J.Y. Bauchu.